Recours aux services des nounous au Burundi et au Rwanda - Défis et Solutions

Dans de nombreuses familles au Burundi comme au Rwanda, les nounous jouent un rôle crucial dans l'éducation et les soins des enfants. Cependant, il est regrettable que certaines situations de maltraitance soient signalées.

Aujourd'hui, on peut se demander s'il est possible pour les familles de se passer des services des nounous. Si oui, quel est le prix à payer du côté des parents en termes de temps, d'énergie et de finances ? Y a-t-il des solutions envisageables pour  améliorer la garde d'enfant?

Beaucoup de parents travaillent, ce qui rend difficile la gestion des responsabilités parentales sans aide extérieure. À la fin du congé postnatal, dans la plupart des cas, les bébés sont pris en charge par des nounous jusqu'à l'âge de la rentrée en école maternelle. Même après la rentrée à l'école, le rôle des nounous reste important.

Parmi les solutions alternatives, il y a la garde d'enfants par des professionnels qualifiés au sein des crèches. Depuis quelques années, des crèches proposent des services de garde d'enfants. On pourrait se demander si ces services sont accessibles aux familles, et si la sécurité et l'éducation des enfants sont véritablement assurées au sein des crèches.

Pour surmonter le problème de maltraitance des nounous envers les enfants, quelles solutions envisageables? quelles sont les personnes physiques ou morales qui peuvent être mises à contribution? 

Cette discussion est ouverte à tous. Avez-vous une expérience à partager? Avez-vous des propositions qui pourraient aider les parents à trouver un équilibre entre les exigences professionnelles et les besoins des enfants? 
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@Spreadlove

743   10 mois
Spreadlove Spreadlove | 2 Abonnés  Burundi | FR
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743   10 mois
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C'est vrai que les nounous avec leur importante aide,réduisent le risque de tomber dans la dépression poste natale surtout pour les nouvelles mamans.Mais alors la question cruciale est de savoir comment reconnaître si une ou une autre est la bonne. selon selon les sondages,la plupart d'entre elles font ce genre de travail pour question de survie; contraintes d'abandonner l'école, primaire, sécondaire , universitaire par faute de moyens, ou juste pour quitter tout simplement la campagne. Elles sont donc frustrées quelque part et le bébé en subira les conséquences certainement.
Je proposerai un centre de formation et de counselling pour toutes les nounous qui se disent interressées par ce travail...
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Le recours aux services de nounous en Afrique va au delà du besoin de ces dernières. C'est une culture qui est au coeur de chaque foyer capable de s'en procurer. Ce qui est de loin une mauvaise chose, ces nounous rendent la vie de ces mamans moins pénible que celle des mamans qui n'ont pas la chance d'avoir cette aide précieuse. Le risque des abus, des maltraitances et des violences est inévitable dans certains cas, et dans ces pays les garderies non plus, les personnes qui accueillent nos enfants non plus ne sont pas formées.
La responsabilité revient aux parents, d'assurer la sécurité de leurs petits bout'choux, avec le choix d'avoir un recours à une étrangère, non formée pour le travail, c'est à eux d'avoir une relation sincère avec la nounou, de lui apprendre comment garder, protéger, et prendre soin de leur petit.Etablir Une communication fondée sur une confiance mutuelle et un amour qui ne protège non seulement les enfants de la maison mais protège également...
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